Médias
Betty devenue Boop ou les Anordinaires
PRESSE
Midi Libre – 12 février 2021 – Jérémy BERNÈDE
Un petit bijou
PRESSE
Midi Libre – 13 décembre 2021
Un conte animalier pas ordinaire
La Tempête / Le Songe d’une nuit d’été
PRESSE
L’Art-vues – 15 juin 2023 – Marie-Christine HARANT
L’Art-vues a vu : « Ubu », « Le Songe d’une nuit été » et « La Tempête »au Printemps des Comédiens à Montpellier
PRESSE
Toute La Culture – 16 juin 2023 – David ROFÉ-SARFATI
«Such Stuff as dreams» de Marie Lamachère
PRESSE
Zébuline l’hebd’Oc #31 – 15 juin 2023 – Alice ROLLAND
Un Shakespeare pas comme les autres
PRESSE
Midi Libre – 12 juin 2023 – Jérémy BERNÈDE
37e Printemps des comédiens à Montpellier : avec Marie LAMACHÈRE, la magie de SHAKESPEARE à cœur ouvert
PRESSE
Hotello – 10 juin 2023 – Véronique HOTTE
PRESSE
Altermidi – 10 juin 2023 – Jean-Marie DINH
Les exilés du monde maîtres de notre imaginaire collectif
PRESSE
La grande parade – 9 juin 2023 – Stéphanie DE MONTCHALIN
La tempête et Le Songe d’une nuit d’été : une traversée onirique captivante imaginée par Marie LAMACHÈRE
PRESSE
Chantiers de culture – 8 juin 2023 – Yonnel LIÉGEOIS
Les classiques revisités
PRESSE
Lokko – 4 juin 2023 – Valérie HERNANDEZ
Le ravissement des bulles bleues
PRESSE
MidiLibre – 31 mai 2023 – Jérémy BERNÈDE
37e Printemps des comédiens à Montpellier : La Tempête, le Songe, une double dose de magie shakespearienne !
RADIO
FM Plus – 19 mai 2023 – Annick DELEFOSSE
Scén’Orama
PRESSE
Snobinart – mai-juin 2023 – Peter AVONDO
Comment se fabriquent les rêves
PRESSE
L’œil d’Olivier – 11 mai 2023 – Olivier FRÉGAVILLE-GRATIAN D’AMORE
Marie LAMACHÈRE fait entrer SHAKESPEARE dans La Bulle Bleue
PRESSE
Le Point – 4 mai 2023
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PRESSE
Le Monde – 1er mai 2023
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De quoi hier sera fait
PRESSE
Au CDN Marie LAMACHÈRE refait le monde
(…) Un théâtre furieusement contemporain entre performance, conférence TEDx et atelier de répétition se déroule dans un décor minimal. (…). C’est la signature d’une génération passionnante dans son réveil politique, qui convoque les grands spectres de la pensée révolutionnaire. Ici, Charles Fourier. D’autres, Marx, très en cour. La verticalité dans le processus de fabrication théâtrale a été repensée. C’est du théâtre en forme d’utopie appliquée qui secoue nos pessimismes (…) Un théâtre qui prend ses responsabilités dans un monde à refaire.
PRESSE
« De quoi hier sera fait », la crise écologique au théâtre
(…) De quoi hier sera fait prouve que le théâtre peut et doit s’emparer d’enjeux aussi fort et actuel que le possible délitement écologique de nos modes de vie. A défaut de créer une histoire ou un récit, on découvre une expérience de théâtre qui confronte nos doutes et nos responsabilités individuelles au foisonnement collectif de la scène.
Nous qui habitons vos ruines
PRESSE
La compagnie Interstices a le cran de se coltiner avec la plus brûlante des interrogations sociales. Celle qui travaillait les viscères de la société française il y a tout juste cinquante ans. Celle qui bat encore le pavé et la chamade, de la rue aujourd’hui. Un autre monde est-il possible ? (…) Moderne sans ostentation contemporaine, symbolique sans pause théorique, la mise en scène de Marie Lamachère ainsi le spectateur à suivre une fiction, façon road trip (…) Sa sympathie évidente pour les expériences utopiques n’obère pas la lucicité de son regard : les contradictions sont mises au clair, comme les limitations.
PRESSE
La compagnie « Interstice » nous fait nous poser les bonnes questions.
« Nous qui habitons vos ruines » sensibilise les spectateurs à l’importance de chercher des solutions pour une société plus juste. Dans ce monde où les priorités sont d’ordre individuel, les comédiens rappellent que « NOUS » sommes indépendants, « ON » a besoin de l’autre pour s’épanouir. S’il n’existe pas encore d’alternative satisfaisante, « Nous qui habitons vos ruines » nous invite à l’inventer. Ensemble.
Sainte Jeanne des abattoirs
PRESSE
Mediapart – Jean-Pierre Thibaudat – 18/03/2016
Spéculateurs d’un côté, petits éleveurs et ouvriers de l’autre. Et, au milieu, Jeanne Dark qui cherche à comprendre. Portée par une mise en scène costaude et une Jeanne phénoménale, la pièce de Brecht fait mouche et mal, là où ça fait mal.
PRESSE
Valérie Hernandez, La Gazette 15 au 21 décembre 2016
Marie Lamachère, le meilleur du théâtre d’ici
PRESSE
Ulysse Di Gregorio, 5 avril 2016, Un fauteuil pour l’orchestre
La mise en scène de Marie Lamachère est particulièrement soignée, et tout est mis en œuvre pour servir le texte de Brecht. La forme de ce théâtre épique est poussée jusqu’au bout tant par la stylisation du jeu de certains personnages que par l’utilisation de la vidéo.
En attendant Godot
PRESSE
Le magazine de la vie théâtrale fête ses 10 ans. Ses journalistes témoignent des pièces qui les ont le plus touchés ces dix dernières années.
En attendant Godot parmi les « 50 meilleurs spectacles de la décennie »
PRESSE
Ce Godot qui n’arrive jamais – La proposition de Marie Lamachère est passionnante. La scénographie est épurée et efficace, les comédiens sont impeccables avec un travail sur le corps fort intéressant, le ton est fou et joyeux. Avec bonheur, le théâtre se joue du théâtre.
PRESSE
Fulgurant Beckett – Le rythme est soutenu, l’adresse à la salle pertinente et efficace. Elle est belle, la sincérité de ces pauvres hères, qui, coincés sur scène, s’échinent à faire quelque chose, pour que le temps passe plus vite. Métaphore de la vie, métaphore du théâtre ? En tout cas, un bien beau pari réussi !
PRESSE
À partir d’un travail sémantique et sémiologique intelligent et précis, Marie Lamachère et la compagnie Interstices proposent une mise en scène efficacement percutante de En attendant Godot… Gilles Masson, Antoine Sterne, Michaël Hallouin et Renaud Golo déploient un art de l’adresse, une capacité de pénétration des relations entre les figures que dessine le texte, une clairvoyance des enjeux théâtraux et une précision interprétative époustouflantes. Chaque mot, chaque geste paraissent mesurés et nécessaires : rien n’est en trop, même dans les moments les plus fiévreux. Marie Lamachère atteste, avec ce spectacle, de la très grande qualité de son talent, à la fois audacieux et virtuose.
PRESSE
Portée par une mise ne scène sobre mais d’une rare efficacité, et des comédiens faisant corps avec leurs personnages tour à tour généreux et fous, misérables et attendrissants, complices et clownesques, cette nouvelle vision de « En attendant Godot » que nous offre Marie Lamachère est sans nul doute l’une des plus intéressantes que l’on ait vu depuis un bon moment…
PRESSE
Une mise en scène étourdissante – À peine entrés dans la salle, nous sommes littéralement bousculés dans nos attentes : la scène n’est plus sur le plateau, mais au beau milieu des spectateurs !…
PRESSE
La représentation fait battre le coeur vivant de la posture beckettienne,
une audace qui fait mouche à travers une diffusion clinique du sens et
de l’essence existentielle…
PRESSE
Interrogeant la notion de sujet dans En Attendant Godot, cette mise en scène a le grand mérite de lui restituer ce mouvement interminable de retour au néant qui la sous-tend chez Beckett, loin, très loin, de « l’identité » censée la fonder…
Têtes-mortes
PRESSE
La démarche vaut le déplacement… Fidèle à sa recherche autour de l’acteur, Marie Lamachère passe de la pensée à une mise en pratique théâtrale aussi périlleuse qu’intense à travers un rapport au langage qui répudie les automatismes. JMDH.
PRESSE
Entretien de Marie Lamachère sur le travail de la compagnie, propos recueillis par Noëmie Charrié lors de la création des Têtes-mortes.
Extrait de « L’écriture du générique: Samuel Beckett » d’Alain Badiou.
Woyzeck
PRESSE
Jean-Pierre Thibaudat / Rue 89 / Le Woyzeck de Büchner, envoyé spécial en Afrique du Nord: « Corps contre corps. La violence est première. Violence du corps qui ne peut se contenir, violence du désir ou de la jalousie, violence sociale des rapports humains… Chaque scène est comme un poème dramatique suspendu, un moment d’ivresse théâtrale… Costumes et accessoires situent la pièce dans un espace-temps à la fois neutre et contemporain convoquant par là même une brassée de métaphores. Dès lors, Woyzeck, exploité de tout temps, trouve un frère d’arme en la personne du marchand des quatre saisons tunisien par qui tout commença. »
PRESSE
Stéphanie Teillais / Midi Libre / Éclatant Woyzeck : Marie Lamachère vient de mettre en scène un Woyzeck éclatant de maîtrise… La mise en scène emprunte énergie et vie à la danse et la la musique contemporaine… Le public reçoit de plein fouet la rage et le désir que portent les comédiens tous épatants.
PRESSE
Catherine Robert / Journal La terrasse : La compagnie // Interstices et le Théâtre de la Valse, associés pour un projet en rhizome autour de Woyzeck, offrent, avec l’ultime version de cette entreprise protéiforme, un spectacle époustouflant … Une interprétation de haute volée pour un spectacle de haute tenue…
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Agathe Raybaud / Blog Le Clou dans la planche / Un beau crime : Cette humanité bouillonnante et viscérale est incarnée par des comédiens en tension permanente, traversés d’instincts contradictoires… Comment ne pas penser ici à Meyerhold et à son athlète affectif, qui mise sur le grotesque et sur la théâtralité de ses mouvements pour faire émerger une vérité du corps qui ne peut que toucher le spectateur car elle parle à ce qu’il y a de plus profond en lui. Il devient ainsi partie prenante de la ʺMonstrueuse Paradeʺ de ces tour à tour chevaux, oiseaux, chiens, singes ou taureaux, qui dressent ou sont dressés et semblent se brûler à chaque fois qu’ils entrent en contact les uns avec les autres. Ainsi, Marie Lamachère parvient à ramener la pièce au présent du spectateur, … en déployant une esthétique à la fois extrêmement contemporaine … et une poésie intense et douloureuse qui confère une épaisseur mythique au crime de Woyzeck.
PRESSE
David Larre / Le Poulailler : Figure du premier prolétaire de l’histoire du théâtre aussi dévoué à sa famille que victime de l’ordre social, le personnage retrouve dans l’incarnation tendue de Michaël Hallouin et l’intelligente mise en scène de Marie Lamachère un lustre nouveau, lié à la réorganisation de la dramaturgie de la pièce. Autour du trio infernal composé de Woyzeck, Marie (Laurélie Riffault) et le Tambour-Major (Antoine Sterne), comédiens du Théâtre de la Valse, s’organise la valse désaccordée des spectres d’une société violente…
PRESSE
PRESSE
Bruno Paternot / Des corps, des corps, des corps… / Inferno : L’esthétique est radicale, le jeu exigeant et brut, le travail ultra-physique. Mais ce qui marque le plus dans le travail du groupe dirigé par Marie Lamachère, c’est la précision et la rigueur. Rarement, sur les scènes françaises, on peut voir un travail aussi minutieux, dont l’investissement des acteurs est total, de la pointe des cheveux jusqu’au doigts des pieds. C’est âpre, c’est brulant, ça sent la glaise…
Bal perdu, une danse macabre
PRESSE
Paysage sous surveillance
PRESSE
Poursuivant depuis trois ans un travail d’atelier sur Heiner Müller, Marie Lamachère vient d’offrir dans la petite salle du Théâtre du Hangar, à Montpellier, une «lecture» singulière de Paysage sous surveillance, un texte que l’on hésite à dire «de théâtre», tant il déjoue les attendus du genre.